jeudi 9 juillet 2015

2 + 3 = 5 Bretons en Mongolie


C’est à la famille Capitaine qu’a été confiée la lourde tâche d’effectuer un compte rendu du séjour en Mongolie. Soyez indulgents, ce n’est pas si facile de résumer deux semaines intenses de voyage à travers un pays comme la Mongolie, où chaque jour on peut découvrir des paysages différents allant des dunes de sable, aux falaises de feu, en passant par une rivière gelée, …

Nous sommes arrivés tous les trois (Papa, Maman et Anne-Laure) le vendredi 05 Juin, après plus de 12 heures de vol, à l’aéroport Chingis Khan d’Ulan Bataar. Il est 7h10 et c’est l’heure tant attendue des retrouvailles avec Marie et David !!! Nous nous serrons fort dans les bras, chose que nous n’avons pas pu faire depuis plus d’un an !
 
Nous rejoignons notre Guest House gérée par Bilegt qui nous a organisé ce séjour. Bilegt et  Mejet, son mari, ont fondé une petite agence de voyage : Mongolia Tour que nous avons connue grâce à Graziella. Ils ont deux appartements à Ulan Bataar servant de guest house et ils organisent des séjours à la carte à travers toute la Mongolie avec leurs 7 chauffeurs disposants de Jeep ou de mini vans russes, les fameux « watz » !

 

Après une  journée passée à  Ulan Bataar nous avons hâte de commencer notre périple !

Ulan Bataar est la capitale de la Mongolie. 3 millions d’habitants vivent en Mongolie dont 1.3 millions à Ulan Bataar. C’est la seule grande ville du pays mais elle n’est  pas très bien entretenue et est très polluée. Beaucoup de constructions commencées, de bâtiments vétustes,  beaucoup d’embouteillages … Ici on roule à droite comme en France, mais les voitures ont, soit le volant à gauche, soit à droite, et c’est vraiment déroutant ! Malgré tout ce que nous avions pu entendre dire, nous nous sommes y sentis en sécurité, même dans le Naran tuul (marché noir : marché immense où l’on trouve de tout : vêtements, tissus, ustensiles pour les bêtes, matériel pour les yourtes etc…)

 
 
Une bonne nuit de sommeil réparateur, et samedi dès 9h, nous retrouvons en bas de l’immeuble  Bazaraa notre fidèle chauffeur et son watz , qui nous accompagnera  tout au long du séjour. Il ne parle que quelques mots d’anglais mais avec les quelques mots mongols que Marie a appris et avec les mimes spectaculaires de Bazaraa nous arriverons à nous comprendre et à bien rigoler !
 

 
Avant de quitter la capitale, nous passons au supermarché avec Bilegt pour faire le plein de courses (légumes, conserves, pâtes,  riz, eau, bière …) pour les premiers jours de notre circuit. Comme David est grand, il prend place aux côtés de Bazaraa à l’avant du mini van, et Marie, Anne-Laure, Guylaine et Jean sont à l’arrière et ça papote ! Retrouvailles obligent !!
 

 

Et nous voilà partis en direction du désert de Gobi, au Sud de la Mongolie. A peine sortis de la capitale, nous quittons l’asphalte et  entrons dans la steppe mongole (immenses étendues de terres avec peu de végétation)  avec ses premiers troupeaux de chèvres, de moutons, de chevaux sauvages  de chameaux, et ses premières yourtes. Nous contemplons les paysages bercés par la musique mongole !

 
Nous mangerons notre premier repas mongole, pâtes et mouton accompagné d’un sutey tsaï (thé mongol : eau chaude, thé (mais pas toujours), lait et sel), dans une petite cantine située en bordure de piste.

 

 
Quelques heures plus tard nous atteignons Baga Gazryn chuluu où nous pouvons observer  d’impressionnantes formations rocheuses  de granit.
 

 
Puis la route reprend, Bazaraa enclenche les 4 roues motrices de la « machine » comme il dit, afin de passer un col rocheux, et on arrive en soirée à notre ger (yourte)  où on dormira ce soir.
Les nomades sont réputés pour leur accueil et la famille nous invite dans sa ger où l’on nous sert spontanément une tasse de  yaourt au lait de chèvre…  sans sucre ... Là-bas les aliments ne sont évidemment pas conservés au réfrigérateur … Et en Mongolie, il est impoli de refuser. On aura du mal à finir notre bol car le lait de chèvre est très fort. Et d’ailleurs nous n’aurions pas dû le finir car ce fameux yaourt aura raison des intestins de Jean, David et Anne-Laure quelques heures plus tard …
Puis découverte de notre yourte pour notre première nuit et  première fois que nous nous cognons la tête contre la porte !!
 

 
Nous dormirons toujours tous les 5 ensemble tout au long du séjour. Mais pour cette première fois c’est plutôt sommaire et les jeunes  dormiront par terre laissant les 2 seuls lits à Guylaine et Jean… lits qui sont aussi durs … que par terre !
 
 
Baazara allume le poêle et le charge de « bouses sèches » seul moyen de chauffage des mongoles en l’absence de bois dans cette région.

 

Notre chauffeur  dormira dans le van comme tous les soirs, même si nous lui avons proposé de rester dans la ger…. mais il a surement raison… pour échapper aux ronflements …
Le lendemain matin, premier réveil face à un magnifique paysage avec les animaux qui nous entourent et départ vers 9h00 pour continuer notre route en direction du Gobi.
 

 
En passant la ville de Mandalgovi, nous aurons la chance d’assister à la fameuse course mongole « le célèbre Naadam ». Les mongols raffolent de cette fête où  s’y déroulent des courses de chevaux, des combats de lutte mongole et du tir à l’arc et le jet d’osselets. Pour que le cheval aille le plus vite possible, le cavalier doit être le plus léger possible, c’est pourquoi les cavaliers sont des enfants entre 6 et 12 ans. C’est impressionnant de voir de si petits bouts de choux en selle faisant des courses au galop !
 
Nous sommes donc arrivés au moment où la course de chevaux allait commencer. Tous les chevaux s’éloignent tranquillement avec leurs cavaliers, et en « bon français », nous nous postons près de la  ligne d’arrivée en première loge puis nous attendons, attendons, attendons, … tous les mongols eux sont repartis à leur voiture mais nous ne voulons rien louper de l’arrivée donc on attend toujours …  les premiers chevaux n’arriveront que deux bonnes heures plus tard en même temps que tout le public ! AHAH ils sont fous ces touristes !! En effet les chevaux étaient partis au trop  à environ 20 kms…. pour débuter la course …. Et revenir sur cette distance au galop !! Malgré toute cette attente nous sommes contents d’avoir pu vivre cet événement.
 

 
 Puis nous reprenons la route direction Tsagaan Survaga.
 

 

Le paysage qui s’offre à nous est grandiose : ce sont de gigantesques falaises, de somptueux  paysages lunaires. Wouahou !! Sur les conseils de Bazaraa nous descendons au pied des falaises afin d’avoir une vue des falaises encore plus belle.
 




Et pour ce soir, ce sera yourte haut de gamme avec chacun son lit s’il vous plait !
 
 
 D’autant plus qu’aujourd’hui 07 Juin, c’est un grand jour … et nous avons parcouru des milliers de kilomètres afin de souhaiter un joyeux anniversaire à notre baroudeur David ! Pour ses 28 ans il aura droit ce soir à du pâté hénaff,  du saucisson, du fromage, du mousseux et en dessert un Kouign Aman avec des bougies. Et en cadeau  un T shirt  « A l’aise Breizh » … des slips …, une veste et une casquette de mongolie .


 
Et cette nuit nous serons bercés par le son des bébés chameaux,  MHUEOHHUO !!  , qui dorment non loin de la yourte.
 

 
Le lendemain matin nous avons du mal à rester éveillé car nous avons retrouvé un peu l’asphalte … et çà nous berce …. Pauvre Bazaraa ! … Les paysages sont plats, nous traversons une des régions les plus vides de la Mongolie entre désert de rocailles et steppes semi-aride.


 

Nous apercevons au loin la ville de Dalanzadgad …mais nous mettrons une bonne heure pour l’atteindre. Et pourtant le mini van roule quasiment à 90 km/h !! Et en fin de matinée, avant de manger, direction les douches publiques ! Ça ne fait que 3 jours qu’on ne s’est pas douché …  mais ça fait quand même un bien fou. Et il faut bien savourer cette douche là car nous n’aurons pas droit à une autre douche avant plusieurs jours ! Maman va enfin pouvoir se coiffer !

Nous atteignons dans l’après-midi, le parc national de Gurvan Saïkan et plus précisément les gorges de Yolin Am.  
 
 
Beaucoup d’animaux, tels que les mignons petits pikas (un mélange entre le lapin et la souris), de gros rapaces, des bouquetins, vivent dans cette réserve naturelle.
 
Nous partons sous la pluie pour une randonnée magique sur la rivière gelée qui coule entre d’immenses gorges. L’hiver l’épaisseur de glace peut atteindre les 10 mètres. Lorsque nous y étions, nous avons marché sur une épaisseur de 3 mètres environ …
 

 
Et personne n’est tombé !! Plus de peur que de mal pour Maman !
 

Le lendemain, départ pour rejoindre les dunes de Khongoryn Els, et atteindre enfin le sud du Gobi.  Après 4h de piste, nous voilà arrivés à notre nouvelle habitation en milieu d’après-midi.
 


 

Mais là les éléments se déchainent : tempête de sable, pluie, vent … On s’improvisera bricoleurs pour boucher le toit de la yourte avec des sacs plastiques afin que la pluie n’entre pas et que nous ayons suffisamment d’éclairage pour jouer aux cartes car nous sommes obligés de reporter la balade à dos de chameaux au lendemain matin. Le propriétaire, étonné et impressionné par notre bricolage, nous ramène un poêle … car il n’y en avait pas dans la yourte ! En 2 temps 3 mouvements, le chauffage est installé avec le conduit, et le feu avec les « bouses séchées »  nous réchauffera vite !
 
 
Le lendemain matin, le temps s’est amélioré et on peut partir pour notre balade à dos de chameau qui nous mènera au pied des dunes.
 
Au cours de la balade, Marie parlera mongol avec notre guide, tandis que Maman se cramponnera aux poils de son chameau pour ne pas tomber ! Nous longeons les  dunes de Konghorin Els surnommées « dunes chantantes » : ces dunes, les plus spectaculaires de Mongolie, s’étirent sur plus de  180 kms, 20 km de large, mesurent en moyennes 100 m de haut voire 400m selon les guides. Selon nous on se rapproche plus des 400m !
 
Eh oui nous le savons bien puisqu’au terme de la balade nous entamons l’ascension de cette fameuse dune. Une montée bien périlleuse car nous n’avons plus 20 ans ! Heureusement, la pluie d’hier a un peu tassé le sable.
 
 
Nous mettrons une bonne heure à atteindre le sommet de la dune avant de la descendre en 5 min  en courant comme des enfants ! Au sommet, la vue est tout à fait saisissante, avec un magnifique panorama sur la steppe à perte de vue et nous apercevons notre petite (toute petite) yourte en contre-bas.
 
Le planning étant assez chargé, pas de temps à perdre, repas à la ger sur la table extérieure et nous filons direction les falaises de Bayanzag, les falaises de feu. Le paysage est semblable à un grand canyon de terre rouge-orangée. Ce pays est vraiment surprenant et nous offre chaque jour des paysages tellement différents. C’est non loin de ces falaises de feu qu’ont été découverts des os de dinosaures en 1922.
 
Pour ce soir Bazaraa négociera une nuit en Tourist Camp au prix d’une nuit en guest house (5€ par personne au lieu de 25€) car celle où nous devions dormir est complète. Ce qui nous permettra de prendre une petite douche !! Et grand luxe, les parents auront leur yourte pour eux seuls et les jeunes aussi !
 
Les jours suivants, nous remontons vers la Mongolie centrale où nous découvrons le genre de paysages auxquels nous nous attendions avant de venir retrouver Marie et David : d’immenses étendues vallonnées beaucoup plus verdoyantes et boisées.
 

 
Les pistes que nous traversons, avant de rejoindre les chutes d’eau de la vallée d’Orkhon, sont plutôt chaotiques. Il faut se cramponner !, No asphalte ! … mais « nice road » dixit Baazara.
 

 

Et nous rencontrons notre premier troupeau de YAK !! Un animal étrange : mi- vache à poils angora, mi- cheval.

 


 

On enfile les kms, cahin-caha … et au bout de 7h30 de route, on atteint la sublime vallée d’Orkhon, où nous resterons 2 nuits sur place. On s’installe et on file marcher jusqu’aux chutes, 24m de haut : magnifique ! (sachez qu’il y a 3 semaines, il n’y avait pas d’eau… donc pas de chutes…..).

 

Le lendemain matin, nous testerons la randonnée à cheval. Nous partons pour trois heures à dos de petits chevaux (David parait très grand sur sa monture !!). Maman qui n’est pas très rassurée reste à la yourte.
 

 

Nous montons sur une petite colline pour avoir un beau panorama de la vallée, puis nous redescendons et traversons quelques bras de rivière.

 

Après deux heures de randonnée on se demande quand nos guides vont se décider à faire demi -tour … Mais nous finirons par revenir en 1 heure à la ger : Au galop à toute allure ! Nous crions « Tcho Tcho Tchoooo » pour faire avancer nos chevaux ! Je ne sais pas s'il nous aurait été possible de randonner plus longtemps, étant donné le mal de genoux que nous avons à la fin de la balade.

Nous avons la chance de voir le montage et le démontage d’une yourte. C’est très rapide ! En une heure environ c’est plié !
 

 

Le lendemain matin, nous quittons cet endroit fabuleux, direction les sources d’eau chaude de Tsenkher où nous passerons la nuit dans un camp de touristes (mais nous serons les seuls occupants…). Ce sera le grand luxe avec des lits moelleux, des draps tout propre et des couvertures toutes chaudes. Et surtout l’occasion de prendre notre troisième et dernière douche du séjour. Le site n’est pas très joli avec toutes ces canalisations puisant l’eau à 86°C pour les redistribuer dans les différents camps.  
 

 

 Mais les prairies qui entourent le site regorgent de magnifiques troupeaux de chevaux avec leurs poulains.

 

Des petits bassins ont été aménagés dans notre camp pour profiter de la source d’eau et se relaxer, ce qui n’est pas pour nous déplaire.

 

Nous continuons notre périple direction le lac de Terkhiin Tsaagan surnommé « le grand lac blanc ».

Passage de gué, nids de poules…  avant d’arriver.

 

 
Ce lac long de 16 kms est apparu suite à l’éruption du volcan l’Horgo qui se trouve juste à côté et qui culmine à 2240 m, volcan que nous allons gravir le deuxième jour. Depuis son sommet, nous avons une vue splendide sur le lac et les collines environnantes.  A proximité du volcan, d’impressionnantes et anciennes coulées de laves forment un paysage original et encore inédit à nos yeux.


 
Ce soir, nous aurons droit à un délicieux barbecue mongol avec la viande de mouton que l’on a acheté sur les conseils de Baazara. Le barbecue mongol n’a rien à voir avec  le barbecue chez nous ! On place une grosse marmite avec de l’eau sur le poêle, on y met la viande découpée en morceaux  puis on rajoute des pierres brûlantes directement sorties du poêle, enfin on rajoute les  légumes (navets, oignons, carottes, pommes de terre) puis on laisse mijoter à peine une heure à couvert. 
 
 

 
Cette façon de cuisiner est TROP BONNE ! Nous avons dévoré nos assiettes.
 
 


Et pour finir ce séjour en terre inconnue, nous rejoignons la famille de nomades, Tsolmon et Batorje,  qui nous accueilleront pour deux nuits. Expérience inoubliable ! C’est la même famille où sont allés Marie et David avant notre arrivée (Cf. article « En immersion chez les nomades »)

Réveil à 6h30 car une rude journée nous attend ! Petit déjeuner rapide avant de s’attaquer au ramassage des crottes vers 7h15.

 
 

Nous nous affairons jusqu’à 9h où nous aurons droit à un deuxième petit déjeuner préparé par Tsolmon. Et le moment tant attendu de la tonte des moutons arrive. La tonte des moutons en Mongolie ne se fait pas à la tondeuse … Ce serait trop facile ! Elle se fait aux ciseaux. Nous les observons avant de nous mettre au travail : Batdorje attrape le mouton au lasso, le plaque au sol, lui enlève la laine du ventre avant de lui attacher les quatre pattes et de s’attaquer à un autre mouton ! Pendant ce temps, Tsolmon n’y va pas de main morte pour couper la laine du mouton aux ciseaux, une fois terminé elle roule la laine en boule et la met sur le tas.
 


 
 
Lorsque nous commençons à les aider ce n’est pas le même rythme ! Alors que Tsolmon met 20 minutes à tondre un mouton, il nous faut plus d’une heure et à deux sur le même mouton en plus ! Jean préfère aider Badtorje à attraper les moutons car la tonte, ce n’est pas son truc… c’est surement mieux pour les moutons !!!
 

 

A 15h nous aurons enfin le droit à la pause pour le repas du midi ! Jean  ne pourra pas reprendre après le repas car il a le dos cassé... Nous on s’y remet ! Mais Anne Laure n’aurait peut-être pas du : elle a fait  un vol plané suivi d’un roulé boulé dans les crottes de mouton à cause de « son mouton » qui a réussi à défaire ses liens alors qu’elle le tondait. Il est parti en sautant et elle a voulu le récupérer …. Belle partie de rigolage !

 

La tonte se termine vers 19h30 ! Mais les nomades ne s’arrêtent jamais ! Il faut faire la traite des vaches pour les femmes, pendant que les hommes continuent par le dressage des chevaux, qu’ils attrapent et sellent, une véritable épreuve physique !


 

 Mais il est 22h30, la nuit commence à tomber. Il faut encore rassembler les troupeaux de chèvres et moutons pour les faire entrer dans leur enclos pour la nuit, et faire de même avec les petits veaux. La journée se termine enfin par une soupe de mouton à 23h30 ! Ils sont fous ces nomades. Quelle folle journée de labeur et quelle bonne odeur de mouton dans la yourte !

 

Le voyage touche à sa fin avec le retour à Ulan Bataar. Et nous tenons à dire un GRAND merci à Bazaraa pour ces deux semaines passées en sa compagnie.
 
 

Nous prenons l’avion deux jours plus tard et disons au revoir à nos deux chers loulous ! Nous les reverrons dans moins de 3 mois, aussi le départ est moins dur que l’année dernière quand ils nous ont quitté, mais il reste émouvant quand  même ! De plus nous allons voyager avec le « variété club », venu 4 jours en Mongolie pour disputer un match de foot. Le variété club de France en compagnie de Robert Pires s’il vous plait ! Ca nous booste le moral.

On redonne la main à David et Marie pour la suite de leurs aventures …. Ils ont pris le transsibérien, pour rejoindre Moscou …et nous n’avons plus que une heure de décalage horaire avec eux !

Mais nous leur laissons le soin de vous raconter tout ça. Ils le font bien mieux que nous !!!

Pour finir cet article nous tenions à vous montrer une petite vidéo de notre quotidien durant ce voyage. Ecoutez bien la musique qui nous a bercé pendant deux semaines !



5 commentaires:

  1. Ah les chameaux, quelles sales bêtes ! On ne nous reverra jamais là dessus... Quoiqu'il y en a des qui arrivent à ne pas tomber, semble-t-il ;-)

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  2. OUahhh trop bien cet article!!On a vraiment rigolé surtout avec le diapo à la fin avec Pierre!!! Trop bien fait le montage!!
    L'animation du montage de la yourte est une prouesse technique!! Bravo! On ne sait pas comment vous avez fait!!
    En tout les cas ça résume vraiment bien ces deux semaines passées à vos côtés!! De supers souvenirs en tout cas!!!
    L'article jusqu'à Moscou est prêt effectivement mais il attendra un peu que tout le monde ait pu lire le votre!!!
    Je pense que les commentaires vont pleuvoir car c'est vraiment bien écrit (malgré quelques fautes!!! bizarre que Guylaine ait pu laisser passer ça!!) .
    Gros bisous à toute la famille de nous deux! Et merci de nous avoir rejoint en Mongolie pour passer ces bons moments, ça restera inoubliable!!
    David et Marie

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  3. Bonjour à toute la famille,
    Merci pour ce reportage sur votre parcours semblable au mien l'an dernier
    Merveilleux souvenirs de paysages et d'expériences partagées avec ce peuple si accueillant
    Bonne suite aux voyageurs
    A bientôt
    Marie Agnès

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  4. Bon reportage pour des novices...La tenue mongole vous va bien, Jean et Guylaine auraient pu la mettre lors de la cousinade, afin de nous mettre dans l'ambiance nomade, dommage on a pas pensé à une petite chanson mongole... Sinon on ne pensait pas que vous étiez allés en Mongolie pour travailler au noir, faut bosser pour yourter ?? Bonne continuation à David et Marie.
    Gros bisous à vous tous.
    Régine et Gilles

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  5. bonjour Marie et David, ce reportage en famille en mongolie est tout simplement génial, vraiment c'est comme si on y était, la tonte des montons, monter sur le dos des chameaux, on a l'ambiance et presque les odeurs, David tu n'oublieras jamais tes 28 ans, anniversaire fêté dans un lieu extraordinaire!, on te te souhaite un bon anniversaire avec un peu de retard, il devait etre bon ce kouing -aman , bonne continuation on pense bien à vous, Annick et Gilles

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