Voilà
maintenant presque 3 semaines que nous sommes en Turquie, et nous
n'avons encore rien écrit sur ce pays dans lequel on se sent si
bien ! Lisez plutôt !
Après le
passage de la frontière, poussés par un vent à décorner les bœufs
vers le premier village Turc, Ipsala, notre objectif est de trouver
un coin pour planter la tente avant que l'orage ne s'abatte sur nous.
C'est donc ici que nous testons pour la première fois l'entraide des
Turcs à notre égard. En effet, sur notre carte le camping indiqué
n'existe plus ou alors n'a jamais existé ! Les premières
gouttes tombent lorsqu'un monsieur nous indique un endroit pour poser
la tente : un parc avec des jeux pour enfants en plein centre
ville, cernés par les HLM !!
Ni une ni
deux, la tente est montée devant quelques admirateurs du haut de
leurs balcons avant que le déluge nous tombe dessus ! Nous nous
réfugions sous un abri où nous cuisinerons tranquillement.
Le vent,
ayant balayé tous les nuages, nous gratifie d'un superbe coucher de
soleil ! Première nuit sans soucis et surtout sans moustiques
en Turquie !
Levés 1
heure après le chant du Muezzin (5h du mat'!!), nous enfourchons nos
montures avec l'idée d'emprunter les petites routes. Le vent est de
nouveau présent mais cette fois-ci, il est contre nous. C'est avec
peine que nous roulons sur des routes non asphaltées et en évitant
de passer trop près des chiens sauvages.
Au loin Kesan, mais avant
nous testons nos premières tôles ondulées sur lesquelles nous
effectuons nos 4000 kilomètres !
Deux
choix s'offrent à nous, les petites routes ou une sorte d'autoroute
où les vélos sont autorisés à rouler. Nous n'aurions jamais du
prendre cette deuxième option qui s'est avérée être monotone et
dangereuse. En gros, imaginez une route droite longue de 35kms où,
au loin, vous pouvez apercevoir votre objectif du jour, avec un vent
de face qui vous oblige à rouler à 10km/h sur une bande d'arrêt
d'urgence certes large mais inintéressante.
Marie
flanche juste avant d'arriver à Malkara. Hypoglycémie et moral au
plus bas, elle parvient tout de même à s'écarter juste à temps
lorsqu'un bus la double par le mauvais côté. Il faut vite quitter
cette route de malheur et trouver un coin pour bivouaquer. Une sorte
de terrain herbeux tout près des habitation sera l'endroit choisi !
Ces deux
derniers soirs, nous avons dû ressortir les pantalons et les
doudounes. Et oui, car lorsque le soleil s’éteint à l'horizon, la
fraîcheur et l'humidité prennent le relais ce qui nous effraie un
peu pour la suite de notre voyage, car nous sommes seulement au mois
d'Août !
La nuit a
porté conseil car pour la suite nous rayons catégoriquement cette
grosse route afin de privilégier les petites s'enfonçant dans la
campagne !
Enfin ce
que nous n'avions pas prévu c'est qu'après avoir fait 100 mètres,
le pneu arrière de Marie se retrouve à plat ! Malédiction, et
dire que certains voyageurs n'ont jamais crevé durant leurs
périples ! Cette fois-ci, nous ne tordons pas le pneu et avec
calme, nous trouvons l'origine de la crevaison et la réparons en un
temps record, observés par quelques personnes !
La
campagne s'avère moins monotone que l'autoroute, les camions y sont
toujours présents mais font attention en nous doublant ! Les
collines s’enchaînent ainsi que des étendues immenses de champs
de tournesols.
Nous nous
arrêtons dans un petit village pour acheter à manger pour le midi
lorsque nous nous faisons héler par trois personnes à une terrasse
d'un café ! On ne le sait pas encore, mais nous venons de
découvrir l'accueil turc avec le fameux « çai », thé
local ! Heureusement, notre lexique turc permet de nous faire
comprendre avec quelques mots !
De retour
sur la route, nous ne comptons plus les coups de klaxons nous
encourageant nous redonnant un peu de punch avant d'arriver à
Hayrabolou.
Changement de décor, ici, ça grouille de partout, les
camions côtoient les tracteurs ainsi que les charrettes tirés par
des chevaux. Les gens sont très avenants et s'inquiètent de savoir
si nous avons besoin d'aide. David part faire les courses, et pendant
ce temps je suis invité à boire le çai par un monsieur,
travaillant dans l'aviation et parlant un très bon anglais !
Lorsque David arrive, il se fait également servir un thé ! Le
monsieur nous conseille de faire un tour dans le « pazar »
(marché) pendant qu'il gardera nos vélos !
Nous
déambulons entre les beaux étals de fruits et légumes. A deux
reprises, les marchands ne nous feront pas payer ce que nous
prenons !
Sortis de
la ville, nous poserons notre tente dans un champ où nous
surplombons la ville.
Ce soir, nous changeons notre menu pour une
galette de blé, sauce tzatziki, aubergines accompagnées de
saucisses, tomates et poivrons ! Un régal !
Le
lendemain, nous devons éponger toute l'humidité qui a trempé la
tente. De retour sur nos petites routes de campagne, nous croisons
nos premiers oiseaux migrateurs, à savoir, des cigognes décrivant
de grands cercles dans le ciel.
25 kilomètres plus loin, nous cédons
à l'appel du çai et faisons connaissance avec nos premiers Kurdes,
chauffeurs de camions. Immédiatement après qu'ils soient partis,
les autres Turcs ne se cachent pas pour nous dire que ce peuple
représente un danger dans leurs pays...
Il est
bientôt midi et malgré les petites cacahuètes offertes par les
gens du café, notre ventre grogne assez vite et nous trouvons refuge
à l'ombre, dans la première station service, où nous sommes
accueillis à bras ouverts par le pompiste et un autre homme plein
d'entrain. Ce dernier est un monsieur d'origine bulgare, qui prend
David à part pour lui indiquer le chemin jusqu'à Istanbul avec un
petit croquis ! Quant à moi, vu que je ne suis pas conviée à
la discussion d'hommes, je m'occupe de préparer la salade !
C'est la deuxième fois que nous entendons dire que notre choix de
passer par les petites routes et de monter par le Nord d'Istanbul est
un bon choix, ouf ! Le monsieur débordant d'énergie, va même
jusqu'à nous chercher de l'eau et du pain au village pour agrémenter
notre salade !
Arrivés
à Muratli, nous trouvons un Internet café pour envoyer quelques
nouvelles afin de rassurer toute la famille de notre bonne arrivée
en Turquie !
En
sortant, nous nous faisons aborder par des jeunes, travaillant dans
une pâtisserie, qui nous offrent de beaux cornets de glace !
Nous passons un moment avec eux et nous communiquons en utilisant
Google translate. Et bien, parfois ça donne de drôles de phrases !
Nous leur achèterons quelques spécialités pour notre dessert de ce
soir.
La sortie
de la ville s'avère assez dangereuse car le bas côté où nous
roulons est pleins de gravillons et le trafic est très dense.
Heureusement, nous bifurquons assez vite et nous posons la tente dans
un champ. Depuis aujourd'hui le vélo de Marie a commencé à faire
un bruit anormal, je regarde donc le vélo de plus près pour
chercher l'origine du craquement. Nous verrons finalement par la
suite que ça vient du moyeu arrière, probablement mal serré.
Mais
quelle odeur nauséabonde !! Cette fois-ci, ce n'est pas nos
intestins qui sont déréglés mais c'est bien dehors qu'une odeur
d’œuf pourri émane. Nous enfourchons donc vite nos vélos, afin
de trouver un coin plus agréable pour manger notre petit déjeuner.
Un banc près de la mosquée du village s'avère idéal. Un groupe de
jeunes filles voilées pouffent de rire en nous voyant faire une
lessive au robinet de la mosquée ! Elle n'osent pas croiser le
regard de David mais je les aborde et discute un moment avec elles.
A midi,
le ventre creux, nous posons notre bâche dans un champ à l'ombre.
Un troupeaux de vaches guidé par leur maître, slaloment entre nos
deux bâches et nos vélos pour aller boire à l'abreuvoir tout
près ! Le vacher vient vers nous et s'adosse à un tronc
d'arbre pendant que nous mangeons notre salade !
Sachant
que des amis nous rejoignent à Istanbul pour début Septembre, nous
ralentissons la cadence car nous disposons de 15 jours pour effectuer
moins de 300kms !
Non loin
de Sarray, dans le village de Cukuyurt, Marie déniche notre ange
gardien, Senol, qui nous hébergera pendant deux jours !
Il gère
un Internet café où nous atterrissons dans l'idée de poster notre
nouvel article ! C'est là que ça devient comique ! Nous
n'arrivons même pas à regarder nos mails car une dizaine de jeunes
viennent discuter avec nous et nous offrent pastèques, jus de fruit,
eau fraîche tout au long de la soirée, sans que nous n'ayons rien
demander !
Senol est
très heureux de nous accueillir chez lui, d'ailleurs il nous
laissera son lit ! Cela fait depuis la Croatie que nous n'avons
pas dormi dans un lit, je ne vous raconte pas notre bonheur !
Senol vit avec son père et sa sœur, divorcée et mère d'un petit
garçon, c'est elle qui s'occupe de toute la maison, en plus de son
travail à l'usine. Elle nous prend notre linge sale et nous tend
deux serviettes pour qu'on aille se doucher ! Juste après, nous
sommes conviés à partager leur repas ! Le père, attristé par
le décès de sa femme, noie son chagrin dans la religion en allant
prier à la mosquée à chaque appel du Muezzin.
Nous
retrouvons Senol à l'Internet café jusqu'à sa fermeture où nous
trinquerons avec des bières une fois le commerce fermé. Auparavant
nous ferons skype avec les parents à Marie et Senol fera ainsi leur
connaissance !
Le
lendemain, Senol nous propose d'aller nous baigner ensemble dans la
Mer Noire ! Vue que rien ne presse, nous acceptons et restons
donc une nuit de plus chez lui ! Senol a confié la gestion de
l'internet café à un jeune du village pour la journée. Il a donc
droit à un jour de vacance mérité car sinon il travaille tous les
jours. Un bus nous amène à Kiyikoy, petit port de pêche, où nous
apercevons pour la première fois la Mer Noire.
Elle ne s'avère pas
très propre mais nous passons un bon moment en compagnie de notre
hôte.
Senol
parle quelques mots d'anglais et nous essayons d'apprendre quelques
mots de turcs jour après jour. Eh bien, pendant ces deux journées,
malgré la barrière de la langue, nous aurons réussi à
communiquer, à rigoler, à nous comprendre et à nous raconter
pleins de choses avec si peu de mots !
De retour
à la maison, nous faisons un peu plus connaissance avec sa sœur qui
nous a de nouveau préparé à manger. Elle nous lit l'avenir dans le
marc de café !
Le
lendemain, nous nous disons au revoir avec grand regret. Merci à
cette famille au grand cœur !
Nous
reprenons la route en direction de Safaalan dans le but d'aller dans
un camping noté sur OSM.
C'est en
fait un endroit aménagé pour que les gens puissent venir
pique-niquer en famille. Nous resterons deux jours dans cet endroit,
appelé « Piknik Alani », pour nous reposer et ne pas
arriver trop vite à Istanbul. Ces endroits ont l'avantage d'avoir un
petit confort, un peu comme au camping, et d'être vraiment bon
marché, donc c'est parfait pour nous !
Les
proprios sont des gens charmants et nous invitent à manger avec
toute la famille le soir alors que nous venons de finir notre repas !
Nous ne pouvons visiblement pas refuser, mais finalement nous ne
pensions pas que notre estomac aurait aussi facilement accepté ces
deux repas enchaînés !
La
journée suivante, Marie ira envoyer plusieurs dizaine de demandes
Warmshowers pour Istanbul pendant que je ferai le montage vidéo de
la Croatie. Le soir nous mangerons une Corba (soupe de pois) ainsi
qu'un plat de Köfte (boulettes de viande) accompagné d'un Ayran
(yaourt salé que l'on boit avec le repas). Et oui, nous nous mettons
à apprécier la cuisine turc !
Le ventre
de David n'a pas trop apprécier les épices ou autre chose mais il
s'est vidé 3 fois cette nuit et est un peu patraque ce matin lorsque
nous reprenons notre route en direction de Gümüspinar où il y
aurait un autre « Pikinik Alani ». En fait nous tombons
dans une ville d'alcooliques, bizarre pour des musulmans ! C'est
assez glauque. Un monsieur, probablement ravagé par l'alcool, tourne
autour de nous en claquant des mains... Finalement ce sont les chiens
sauvages les plus normaux dans ce village on dirait !
Le soir, à
la tombée de la nuit, plusieurs personnes se retrouvent pour boire
leurs bières en contrebas mais ne nous embêtent pas.
Nous ne
nous attarderons pas ici, et levons le camp le lendemain pour filer
vers Durusu. Le vent, ne l'oubliez pas, ne nous a pas lâché entre
temps ! La vitesse chute à 7km/h et pourtant nous donnons tout
ce que nous avons...
Nous
tombons de nouveau sur une route à 6 voies mais contrairement à
l'autre, celle ci est quasi déserte, d'ailleurs on se pose la
question de son utilité.
Au loin,
nous apercevons pour la deuxième fois la Mer Noire et quelques
villages en contrebas. C'est à Durusu que nous bifurquons pour
tomber de nouveau dans un Piknik Alani, désert mis à part deux
chiens. La proprio, arrivera quelques minutes plus tard et nous fait
signe de nous asseoir sur deux chaises où nous restons un moment à
attendre l'arrivée de son mari et de son employé. Il est 15h, mais
nous avons l'impression que la proprio prépare à manger comme si,
elle savait que nous allions arriver. Même si nous n'avons pas très
faim, nous partageons leurs repas avec le fameux çai pour finir.
Nous posons notre tente en compagnie des deux chiens du camp qui
semblent nous avoir adoptés ! D'ailleurs, ils nous
accompagneront sur les 2 kilomètres qui nous séparent de la ville
où nous allons faire quelques commissions.
Nous reviendrons de la
ville avec un seul chien que l'on appellera « Köpek »
(chien en Turc) et qui nous suivra partout jusqu'à notre départ !
Cette
nouvelle pause nous permet de nous pencher plus précisément sur
notre itinéraire en Turquie et après moults réflexions, notre
itinéraire en Turquie va de nouveau être modifié ! C'est ça
la beauté du voyage, c'est de ne jamais savoir ce que l'avenir nous
réserve ! Nous prévoyons donc de prendre le bus à Istanbul
afin de rejoindre la Cappadoce, et de poursuivre en vélo depuis là.
Le pays étant trop immense, et l'hiver arrivant à grand pas, nous
devons franchir la frontière Iranienne avant le mois de Novembre si
on ne veut pas finir givré (enfin ça c'est peut-être déjà le
cas) !
Durant
notre séjour à Durusu, nous sommes invités de nombreuses fois à
venir partager la çai et le deuxième soir,c'est en compagnie de
toute la famille que nous nous retrouvons.
Photos souvenirs, prise de
contacts facebook, et superbe soirée où les çai s’enchaîneront !
Après un
bon petit déjeuner, nous pensions lever le camp assez rapidement
mais nous sommes de nouveau invités par les deux enfants des
proprios, qui ont veillé sur nous cette nuit depuis leur hamac. Nous
nous retrouvons donc à manger une énorme omelette avec pain, bûrek,
fromage, tomates, çai. Notre ventre est prêt à exploser quand nous
leur disons au revoir. « Köpek » n'est pas de cet avis
là et nous suit jusqu'à l'embranchement de l'autoroute.
Cette
dernière par contre présente un trafic dense composé uniquement de
camions qui nous doublent en gros toutes les 10 secondes.
Nous
bifurquons sur une route comme on les aime et nous pouvons apercevoir
pourquoi il y a tant de camions sur cette route. Un échangeur
autoroutier monstrueux est en train de sortir de terre, quitte à
raser toutes les forêts aux alentours...
En parlant de forêt, nous
rentrons dans celle de Belgrade, au Nord d'Istanbul, lieu de
rencontre de nombreux Stambouliotes le week-end et c'est de nouveau
dans un Piknik Alani que nous posons notre tente !
Changement
de décor, alors que ces derniers jours nous avons traversé de
petits villages sans trop d'infrastructures, nous entrons sans aucune
transition dans la modernité, quel choc. Nous voilà dans la
périphérie d'Istanbul, ville de 13 millions d'habitants !
Nous
atteignons les rives du Bosphore avec son trafic maritime
impressionnant après plus de 3 mois de vélo.
Nous sommes fiers de
nous mais la route est encore longue jusqu'en Mongolie. Pour l'heure,
place à Istanbul où nous resterons 10 jours mais ceci est une autre
histoire !
Ah cest bon de vous suivre les enfants (:)) on se marre, ne dit on pas que les chiens ne font pas des chats, zetes comme vos parents cyclos , vs changez diti souvent, c'est super chouette rien de figer, place à l aventure, zetes geniaux, big biz ou devant mon verre d ouzo au son des chants grecs ds petit troquet super !!!
RépondreSupprimerLol merci du commentaire les parents; et oui notre itinéraire va encore changer. Nous venons de croiser un cyclo Iranien qui nous a dit que nous arrivons pile poil dans la bonne saison pour rouler dans son pays et qu'il ne fallait pas avoir peur du froid!!! Un petit conseil pour le bus à istanbul. Compagnie Kamilcoc pour 60 LT jusqu'à Göreme. Nous l'avons pris d'une bus station sur le continent Asiatique. La il faut négocier du pour mettre son vélo dans la soute car ce n'est pas directement dans le gros bus que vous le mettez mais bien dans un minibus et en fonction de son remplissage ils peuvent ne pas accepter. Heureusement notre Warmshower a pu négocier ferme pour nous. Le premier est rentré diffcilement dans la soute arrière avec tous les bagages et le deuxième dans le deuxième mini bus. Après 0 la station où vous prenez enfin le gros bus, il faut vite se dépécher pour prendre la place d'une soute entière pour mettre les vélos soi-même et les bagages!! C'est toute une aventure!! mais heureusement nos amis étaient la pour nous aider!! Bus avec wifi et possibilité de recharger par USB!! Le pied! Arrêt tous les 3h avec lumières et musique à fond!! Arrivé à Nevshehir pour reprendre un autre bus, alors il faut tout decharger et recharger tout ça à 6h du mat difficile!! Mais faisable!!
SupprimerBigre, vous vous mettez à écrire des articles (presque) aussi longs que les nôtres, c'est bien les enfants !
RépondreSupprimerD'ailleurs on est à la bourre, comme d'habitude, sur notre bmog, on va essayer de se mettre à jour ce weekend. En tout cas avant la Turquie.
On est désolé on a pas pu lire tous vos articles car des amis sont venus nous rejoindre en cappadocce mais promis on va s'y mettre!! La cappadocce c'est trop beau, il n'y a pas de mots pour vous la décrire! 5 jours sont nécessaire pour tout visiter, rando à gogo!!
SupprimerCoucou! vous en faites des tartines mais on ne s'en lasse pas, ça donne toujours envie de parcourir les pays que vous décrivez. Profitez bien de vos vacances à Istanbul et des loustiks qui vous rejoignent! Gros Bisous++
RépondreSupprimerOui c'est vrai que les articles deviennent de plus en plus longs mais avec toutes ses anecdotes, c'est difficile de tout résumer!! Les vacances avec les loustiks se passent à merveille!! On se demande si on arrivera encore à pédaler après!!
SupprimerGros bisous et bon anniversaire Yann!!!
Salut les touristes !!
RépondreSupprimerC'est toujours aussi sympa de suivre votre périple, vous entrez en Asie, alors à l'asie doucement et sûrement... ;>)
Bisous et A+
Régine et Gilles
Ca y est oui, nous sommes en Asie pour notre première fois!! En direct de Cappadocce mais nous avons l'impression d'être en France tellement il y a de touristes français!! lol! Nan franchement après l'agitation perpétuelle d'Istanbul, nous voici au calme avec des grandes étendues et des paysages à couper le souffle en Cappadocce!
SupprimerNan sans blague, si vous n'êtes jamais allés en Turquie, ce pays est tellement beau!!Merci de votre fidélité!!
Ciao
Bisous a vous deux et surtout bon anniversaire à notre super cycliste on est très fier de vous deux on boit un verre a ta santé ma bichette bisous
RépondreSupprimerMerci beaucoup! On a aussi trinqué (évidemment!) en compagnie des amis qui sont venus nous rejoindre pour les vacances! C'est cool de se retrouver! On a vu des photos du baptême, elles sont belles (même celles où vous faîtes la grimace!)! Gros bisous!! David et Marie.
SupprimerBonjour,
RépondreSupprimerNous suivons toujours avec passion vos aventures! Joyeux anniversaire à Marie avec un jour de retard !!!!
Gros Bisous
Pascal et Karine
Merci beaucoup pour votre pensée pour mon anniv et merci de nous suivre assidûment!! Gros bisous!! David et Marie.
Supprimermerci pour vos news, c'est cool de savoir que tt va bien.
RépondreSupprimerj'ai beaucoup aimé aller en turquie aussi, ils st très accueillants.
je pense souvent à vous
profitez de toutes ces rencontres et paysages
gros bisous à vous 2
malika
Merci Malika!! Ca fait plaisir d'avoir de tes nouvelles!! J'espère que tout se passe bien pour vous et je pense que votre grand voyage se précise aussi! Je pense aussi souvent à vous les collègues! Effectivement, on se plaît beaucoup en Turquie, des beaux paysages mais surtout des belles rencontres! Gros bisous!! David et Marie.
SupprimerBon anniversaire Marie. Nous avons oublié, mais vous avez oublié celui de Joël le lendemain, alors on est quitte !
RépondreSupprimerEt puis, à voyager comme ça tout le temps, on finit par ne plus savoir quel jour on vit. Tant mieux.
Bises, on vous suit, arrivée prévue à Istambul la semaine prochaine. Par ferry, pour éviter le cauchemar aumomobilesque.
Merci à vous, nos cyclos préférés!! Et bon anniv à Joël également! Désolé, on ne connaissait pas sa date d'anniv... maintenant, je ne risque plus de l'oublier! Je suppose que vous avez bien fêté ça! On espère que votre arrivée en Turquie se passe pour le mieux! Le colis "retour" de Croatie a bien été réceptionné par mes parents! Gros bisous!! David et Marie.
SupprimerBon anniversaire Marie. J'étais à Lyon en début de semaine et nous avons zappé ton anniversaire. Excuse-nous. Nous te faisons des gros bisous.
RépondreSupprimerLouis et Armelle.
Merci!! Pas de soucis pour le retard! Profitez bien de l'été indien en Bretagne, David m'a dit que vous vous baignez encore! Ici aujourd'hui, c'est plutôt crachin breton, le comble! Alors, on en profite pour se reposer! Gros bisous!!
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
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