C’est
à la famille Capitaine qu’a été confiée la lourde tâche d’effectuer un compte
rendu du séjour en Mongolie. Soyez indulgents, ce n’est pas si facile de
résumer deux semaines intenses de voyage à travers un pays comme la Mongolie,
où chaque jour on peut découvrir des paysages différents allant des dunes de
sable, aux falaises de feu, en passant par une rivière gelée, …
Nous
sommes arrivés tous les trois (Papa, Maman et Anne-Laure) le vendredi 05 Juin,
après plus de 12 heures de vol, à l’aéroport Chingis Khan d’Ulan Bataar. Il est
7h10 et c’est l’heure tant attendue des retrouvailles avec Marie et
David !!! Nous nous serrons fort dans les bras, chose que nous n’avons pas
pu faire depuis plus d’un an !
Nous
rejoignons notre Guest House gérée par Bilegt qui nous a organisé ce séjour. Bilegt
et Mejet, son mari, ont fondé une petite
agence de voyage : Mongolia Tour que nous avons connue grâce à Graziella.
Ils ont deux appartements à Ulan Bataar servant de guest house et ils
organisent des séjours à la carte à travers toute la Mongolie avec leurs 7
chauffeurs disposants de Jeep ou de mini vans russes, les fameux
« watz » !
Après une journée passée
à Ulan Bataar nous avons hâte de
commencer notre périple !
Ulan Bataar est la capitale de la Mongolie. 3 millions
d’habitants vivent en Mongolie dont 1.3 millions à Ulan Bataar. C’est la seule
grande ville du pays mais elle n’est pas
très bien entretenue et est très polluée. Beaucoup de constructions commencées,
de bâtiments vétustes, beaucoup
d’embouteillages … Ici on roule à droite comme en France, mais les voitures ont,
soit le volant à gauche, soit à droite, et c’est vraiment déroutant ! Malgré
tout ce que nous avions pu entendre dire, nous nous sommes y sentis en
sécurité, même dans le Naran tuul (marché noir : marché immense où l’on
trouve de tout : vêtements, tissus, ustensiles pour les bêtes, matériel
pour les yourtes etc…)
Une bonne
nuit de sommeil réparateur, et samedi dès 9h, nous retrouvons en bas de
l’immeuble Bazaraa notre fidèle
chauffeur et son watz , qui nous accompagnera tout au long du séjour. Il ne parle que
quelques mots d’anglais mais avec les quelques mots mongols que Marie a appris
et avec les mimes spectaculaires de Bazaraa nous arriverons à nous comprendre
et à bien rigoler !
Avant
de quitter la capitale, nous passons au supermarché avec Bilegt pour faire le
plein de courses (légumes, conserves, pâtes,
riz, eau, bière …) pour les premiers jours de notre circuit. Comme David
est grand, il prend place aux côtés de Bazaraa à l’avant du mini van, et Marie,
Anne-Laure, Guylaine et Jean sont à l’arrière et ça papote ! Retrouvailles
obligent !!
Et
nous voilà partis en direction du désert de Gobi, au Sud de la Mongolie. A
peine sortis de la capitale, nous quittons l’asphalte et entrons dans la steppe mongole (immenses
étendues de terres avec peu de végétation)
avec ses premiers troupeaux de chèvres, de moutons, de chevaux
sauvages de chameaux, et ses premières
yourtes. Nous contemplons les paysages bercés par la musique mongole !
Nous
mangerons notre premier repas mongole, pâtes et mouton accompagné d’un sutey
tsaï (thé mongol : eau chaude, thé (mais pas toujours), lait et sel),
dans une petite cantine située en bordure de piste.
Quelques
heures plus tard nous atteignons Baga Gazryn chuluu où nous pouvons
observer d’impressionnantes formations rocheuses
de granit.
Puis
la route reprend, Bazaraa enclenche les 4 roues motrices de la
« machine » comme il dit, afin de passer un col rocheux, et on arrive
en soirée à notre ger (yourte) où on
dormira ce soir.
Les
nomades sont réputés pour leur accueil et la famille nous invite dans sa ger où
l’on nous sert spontanément une tasse de yaourt au lait de chèvre… sans sucre ... Là-bas les aliments ne sont
évidemment pas conservés au réfrigérateur … Et en Mongolie, il est impoli de
refuser. On aura du mal à finir notre bol car le lait de chèvre est très fort.
Et d’ailleurs nous n’aurions pas dû le finir car ce fameux yaourt aura raison
des intestins de Jean, David et Anne-Laure quelques heures plus tard …
Puis
découverte de notre yourte pour notre première nuit et première fois que nous nous cognons la tête
contre la porte !!
Nous
dormirons toujours tous les 5 ensemble tout au long du séjour. Mais pour cette
première fois c’est plutôt sommaire et les jeunes dormiront par terre laissant les 2 seuls lits
à Guylaine et Jean… lits qui sont aussi durs … que par terre !
Baazara
allume le poêle et le charge de « bouses sèches » seul moyen de
chauffage des mongoles en l’absence de bois dans cette région.
Notre
chauffeur dormira dans le van comme tous
les soirs, même si nous lui avons proposé de rester dans la ger…. mais il a
surement raison… pour échapper aux ronflements …
Le
lendemain matin, premier réveil face à un magnifique paysage avec les animaux
qui nous entourent et départ vers 9h00 pour continuer notre route en direction
du Gobi.
En passant la ville de Mandalgovi, nous aurons la
chance d’assister à la fameuse course mongole « le célèbre Naadam ». Les
mongols raffolent de cette fête où s’y
déroulent des courses de chevaux, des combats de lutte mongole et du tir à
l’arc et le jet d’osselets. Pour que le cheval aille le plus vite possible, le
cavalier doit être le plus léger possible, c’est pourquoi les cavaliers sont
des enfants entre 6 et 12 ans. C’est impressionnant de voir de si petits bouts
de choux en selle faisant des courses au galop !
Nous sommes donc arrivés
au moment où la course de chevaux allait commencer. Tous les chevaux s’éloignent
tranquillement avec leurs cavaliers, et en « bon français », nous
nous postons près de la ligne d’arrivée
en première loge puis nous attendons, attendons, attendons, … tous les mongols eux
sont repartis à leur voiture mais nous ne voulons rien louper de l’arrivée donc
on attend toujours … les premiers
chevaux n’arriveront que deux bonnes heures plus tard en même temps que tout le
public ! AHAH ils sont fous ces touristes !! En effet les chevaux
étaient partis au trop à environ 20
kms…. pour débuter la course …. Et revenir sur cette distance au galop !! Malgré
toute cette attente nous sommes contents d’avoir pu vivre cet événement.
Puis nous reprenons la route direction Tsagaan
Survaga.
Le
paysage qui s’offre à nous est grandiose : ce sont de gigantesques
falaises, de somptueux paysages
lunaires. Wouahou !! Sur les conseils de Bazaraa nous descendons au pied
des falaises afin d’avoir une vue des falaises encore plus belle.
Et pour
ce soir, ce sera yourte haut de gamme avec chacun son lit s’il vous
plait !
D’autant plus qu’aujourd’hui 07 Juin, c’est un
grand jour … et nous avons parcouru des milliers de kilomètres afin de
souhaiter un joyeux anniversaire à notre baroudeur David ! Pour ses 28 ans
il aura droit ce soir à du pâté hénaff,
du saucisson, du fromage, du mousseux et en dessert un Kouign Aman avec
des bougies. Et en cadeau un T shirt « A l’aise Breizh » … des
slips …, une veste et une casquette de mongolie .
Et cette
nuit nous serons bercés par le son des bébés chameaux, MHUEOHHUO !! , qui dorment non loin de la yourte.
Le
lendemain matin nous avons du mal à rester éveillé car nous avons retrouvé un
peu l’asphalte … et çà nous berce …. Pauvre Bazaraa ! … Les paysages sont
plats, nous traversons une des régions les plus vides de la Mongolie entre
désert de rocailles et steppes semi-aride.
Nous
apercevons au loin la ville de Dalanzadgad …mais nous mettrons une bonne heure
pour l’atteindre. Et pourtant le mini van roule quasiment à 90 km/h !! Et en
fin de matinée, avant de manger, direction les douches publiques ! Ça ne
fait que 3 jours qu’on ne s’est pas douché … mais ça fait quand même un bien fou. Et il
faut bien savourer cette douche là car nous n’aurons pas droit à une autre
douche avant plusieurs jours ! Maman va enfin pouvoir se coiffer !
Nous
atteignons dans l’après-midi, le parc national de Gurvan Saïkan et plus
précisément les gorges de Yolin Am.
Beaucoup
d’animaux, tels que les mignons petits pikas (un mélange entre le lapin et la
souris), de gros rapaces, des bouquetins, vivent dans cette réserve naturelle.
Nous
partons sous la pluie pour une randonnée magique sur la rivière gelée qui coule
entre d’immenses gorges. L’hiver l’épaisseur de glace peut atteindre les 10 mètres.
Lorsque nous y étions, nous avons marché sur une épaisseur de 3 mètres environ
…
Et
personne n’est tombé !! Plus de peur que de mal pour Maman !
Le
lendemain, départ pour rejoindre les dunes de Khongoryn Els, et atteindre enfin
le sud du Gobi. Après 4h de piste, nous
voilà arrivés à notre nouvelle habitation en milieu d’après-midi.
Mais
là les éléments se déchainent : tempête de sable, pluie, vent … On
s’improvisera bricoleurs pour boucher le toit de la yourte avec des sacs
plastiques afin que la pluie n’entre pas et que nous ayons suffisamment
d’éclairage pour jouer aux cartes car nous sommes obligés de reporter la balade
à dos de chameaux au lendemain matin. Le propriétaire, étonné et impressionné
par notre bricolage, nous ramène un poêle … car il n’y en avait pas dans la
yourte ! En 2 temps 3 mouvements, le chauffage est installé avec le
conduit, et le feu avec les « bouses séchées » nous réchauffera vite !
Le
lendemain matin, le temps s’est amélioré et on peut partir pour notre balade à
dos de chameau qui nous mènera au pied des dunes.
Au cours
de la balade, Marie parlera mongol avec notre guide, tandis que Maman se
cramponnera aux poils de son chameau pour ne pas tomber ! Nous longeons les dunes de Konghorin Els surnommées
« dunes chantantes » : ces dunes, les plus spectaculaires de Mongolie,
s’étirent sur plus de 180 kms, 20 km de
large, mesurent en moyennes 100 m de haut voire 400m selon les guides. Selon
nous on se rapproche plus des 400m !
Eh
oui nous le savons bien puisqu’au terme de la balade nous entamons l’ascension
de cette fameuse dune. Une montée bien périlleuse car nous n’avons plus 20
ans ! Heureusement, la pluie d’hier a un peu tassé le sable.
Nous
mettrons une bonne heure à atteindre le sommet de la dune avant de la descendre
en 5 min en courant comme des
enfants ! Au sommet, la vue est tout à fait saisissante, avec un magnifique
panorama sur la steppe à perte de vue et nous apercevons notre petite (toute
petite) yourte en contre-bas.
Le
planning étant assez chargé, pas de temps à perdre, repas à la ger sur la table
extérieure et nous filons direction les falaises de Bayanzag, les falaises de
feu. Le paysage est semblable à un grand canyon de terre rouge-orangée. Ce pays
est vraiment surprenant et nous offre chaque jour des paysages tellement
différents. C’est non loin de ces falaises de feu qu’ont été découverts des os
de dinosaures en 1922.
Pour
ce soir Bazaraa négociera une nuit en Tourist Camp au prix d’une nuit en guest
house (5€ par personne au lieu de 25€) car celle où nous devions dormir est
complète. Ce qui nous permettra de prendre une petite douche !! Et grand
luxe, les parents auront leur yourte pour eux seuls et les jeunes aussi !
Les
jours suivants, nous remontons vers la Mongolie centrale où nous découvrons le
genre de paysages auxquels nous nous attendions avant de venir retrouver Marie
et David : d’immenses étendues vallonnées beaucoup plus verdoyantes et
boisées.
Les pistes
que nous traversons, avant de rejoindre les chutes d’eau de la vallée d’Orkhon,
sont plutôt chaotiques. Il faut se cramponner !, No asphalte ! … mais
« nice road » dixit Baazara.
Et
nous rencontrons notre premier troupeau de YAK !! Un animal étrange :
mi- vache à poils angora, mi- cheval.
On
enfile les kms, cahin-caha … et au bout de 7h30 de route, on
atteint la sublime vallée d’Orkhon, où nous resterons 2 nuits sur place. On
s’installe et on file marcher jusqu’aux chutes, 24m de haut : magnifique !
(sachez qu’il y a 3 semaines, il n’y avait pas d’eau… donc pas de chutes…..).
Le
lendemain matin, nous testerons la randonnée à cheval. Nous partons pour trois
heures à dos de petits chevaux (David parait très grand sur sa
monture !!). Maman qui n’est pas très rassurée reste à la yourte.
Nous
montons sur une petite colline pour avoir un beau panorama de la vallée, puis
nous redescendons et traversons quelques bras de rivière.
Après
deux heures de randonnée on se demande quand nos guides vont se décider à faire
demi -tour … Mais nous finirons par revenir en 1 heure à la ger : Au galop
à toute allure ! Nous crions « Tcho Tcho Tchoooo » pour faire
avancer nos chevaux ! Je ne sais pas s'il nous aurait été possible de randonner plus
longtemps, étant donné le mal de genoux que nous avons à la fin de la balade.
Nous
avons la chance de voir le montage et le démontage d’une yourte. C’est très
rapide ! En une heure environ c’est plié !
Le
lendemain matin, nous quittons cet endroit fabuleux, direction les sources
d’eau chaude de Tsenkher où nous passerons la nuit dans un camp de touristes (mais
nous serons les seuls occupants…). Ce sera le grand luxe avec des lits
moelleux, des draps tout propre et des couvertures toutes chaudes. Et surtout l’occasion
de prendre notre troisième et dernière douche du séjour. Le site n’est pas très
joli avec toutes ces canalisations puisant l’eau à 86°C pour les redistribuer dans
les différents camps.
Mais les prairies qui entourent le site
regorgent de magnifiques troupeaux de chevaux avec leurs poulains.
Des
petits bassins ont été aménagés dans notre camp pour profiter de la source
d’eau et se relaxer, ce qui n’est pas pour nous déplaire.
Nous
continuons notre périple direction le lac de Terkhiin Tsaagan surnommé
« le grand lac blanc ».
Passage
de gué, nids de poules… avant d’arriver.
Ce
lac long de 16 kms est apparu suite à l’éruption du volcan l’Horgo qui se
trouve juste à côté et qui culmine à 2240 m, volcan que nous allons gravir le
deuxième jour. Depuis son sommet, nous avons une vue splendide sur le lac et
les collines environnantes. A proximité
du volcan, d’impressionnantes et anciennes coulées de laves forment un paysage
original et encore inédit à nos yeux.
Ce soir,
nous aurons droit à un délicieux barbecue mongol avec la viande de mouton que
l’on a acheté sur les conseils de Baazara. Le barbecue mongol n’a rien à voir
avec le barbecue chez nous ! On
place une grosse marmite avec de l’eau sur le poêle, on y met la viande
découpée en morceaux puis on rajoute des
pierres brûlantes directement sorties du poêle, enfin on rajoute les légumes (navets, oignons, carottes, pommes de
terre) puis on laisse mijoter à peine une heure à couvert.
Cette façon de cuisiner est TROP BONNE ! Nous avons dévoré nos assiettes.
Et
pour finir ce séjour en terre inconnue, nous rejoignons la famille de nomades,
Tsolmon et Batorje, qui nous accueilleront
pour deux nuits. Expérience inoubliable ! C’est la même famille où sont
allés Marie et David avant notre arrivée (Cf. article « En immersion chez
les nomades »)
Réveil à
6h30 car une rude journée nous attend ! Petit déjeuner rapide avant
de s’attaquer au ramassage des crottes vers 7h15.
Nous
nous affairons jusqu’à 9h où nous aurons droit à un deuxième petit déjeuner
préparé par Tsolmon. Et le moment tant attendu de la tonte des moutons arrive.
La tonte des moutons en Mongolie ne se fait pas à la tondeuse … Ce serait trop
facile ! Elle se fait aux ciseaux. Nous les observons avant de nous mettre
au travail : Batdorje attrape le mouton au lasso, le plaque au sol, lui
enlève la laine du ventre avant de lui attacher les quatre pattes et de s’attaquer
à un autre mouton ! Pendant ce temps, Tsolmon n’y va pas de main morte
pour couper la laine du mouton aux ciseaux, une fois terminé elle roule la laine
en boule et la met sur le tas.
Lorsque
nous commençons à les aider ce n’est pas le même rythme ! Alors que
Tsolmon met 20 minutes à tondre un mouton, il nous faut plus d’une heure et à
deux sur le même mouton en plus ! Jean préfère aider Badtorje à attraper
les moutons car la tonte, ce n’est pas son truc… c’est surement mieux pour les
moutons !!!
A 15h
nous aurons enfin le droit à la pause pour le repas du midi ! Jean ne pourra pas reprendre après le repas car il
a le dos cassé... Nous on s’y remet ! Mais Anne Laure n’aurait peut-être
pas du : elle a fait un vol plané
suivi d’un roulé boulé dans les crottes de mouton à cause de « son mouton »
qui a réussi à défaire ses liens alors qu’elle le tondait. Il est parti en
sautant et elle a voulu le récupérer …. Belle partie de rigolage !
La
tonte se termine vers 19h30 ! Mais les nomades ne s’arrêtent jamais !
Il faut faire la traite des vaches pour les femmes, pendant que les hommes continuent
par le dressage des chevaux, qu’ils attrapent et sellent, une véritable épreuve
physique !
Mais il est 22h30, la nuit commence à tomber.
Il faut encore rassembler les troupeaux de chèvres et moutons pour les faire
entrer dans leur enclos pour la nuit, et faire de même avec les petits veaux.
La journée se termine enfin par une soupe de mouton à 23h30 ! Ils sont
fous ces nomades. Quelle folle journée de labeur et quelle bonne odeur de
mouton dans la yourte !
Le
voyage touche à sa fin avec le retour à Ulan Bataar. Et nous tenons à dire un GRAND merci à Bazaraa pour ces deux semaines passées en sa compagnie.
Nous
prenons l’avion deux jours plus tard et disons au revoir à nos deux chers loulous !
Nous les reverrons dans moins de 3 mois, aussi le départ est moins dur que
l’année dernière quand ils nous ont quitté, mais il reste émouvant quand même ! De plus nous allons voyager avec
le « variété club », venu 4 jours en Mongolie pour disputer un match
de foot. Le variété club de France en compagnie de Robert Pires s’il vous
plait ! Ca nous booste le moral.
On
redonne la main à David et Marie pour la suite de leurs aventures …. Ils ont
pris le transsibérien, pour rejoindre Moscou …et nous n’avons plus que une
heure de décalage horaire avec eux !
Mais
nous leur laissons le soin de vous raconter tout ça. Ils le font bien mieux que
nous !!!
Pour finir cet article nous tenions à
vous montrer une petite vidéo de notre quotidien durant ce voyage. Ecoutez bien
la musique qui nous a bercé pendant deux semaines !
Ah les chameaux, quelles sales bêtes ! On ne nous reverra jamais là dessus... Quoiqu'il y en a des qui arrivent à ne pas tomber, semble-t-il ;-)
RépondreSupprimerOUahhh trop bien cet article!!On a vraiment rigolé surtout avec le diapo à la fin avec Pierre!!! Trop bien fait le montage!!
RépondreSupprimerL'animation du montage de la yourte est une prouesse technique!! Bravo! On ne sait pas comment vous avez fait!!
En tout les cas ça résume vraiment bien ces deux semaines passées à vos côtés!! De supers souvenirs en tout cas!!!
L'article jusqu'à Moscou est prêt effectivement mais il attendra un peu que tout le monde ait pu lire le votre!!!
Je pense que les commentaires vont pleuvoir car c'est vraiment bien écrit (malgré quelques fautes!!! bizarre que Guylaine ait pu laisser passer ça!!) .
Gros bisous à toute la famille de nous deux! Et merci de nous avoir rejoint en Mongolie pour passer ces bons moments, ça restera inoubliable!!
David et Marie
Bonjour à toute la famille,
RépondreSupprimerMerci pour ce reportage sur votre parcours semblable au mien l'an dernier
Merveilleux souvenirs de paysages et d'expériences partagées avec ce peuple si accueillant
Bonne suite aux voyageurs
A bientôt
Marie Agnès
Bon reportage pour des novices...La tenue mongole vous va bien, Jean et Guylaine auraient pu la mettre lors de la cousinade, afin de nous mettre dans l'ambiance nomade, dommage on a pas pensé à une petite chanson mongole... Sinon on ne pensait pas que vous étiez allés en Mongolie pour travailler au noir, faut bosser pour yourter ?? Bonne continuation à David et Marie.
RépondreSupprimerGros bisous à vous tous.
Régine et Gilles
bonjour Marie et David, ce reportage en famille en mongolie est tout simplement génial, vraiment c'est comme si on y était, la tonte des montons, monter sur le dos des chameaux, on a l'ambiance et presque les odeurs, David tu n'oublieras jamais tes 28 ans, anniversaire fêté dans un lieu extraordinaire!, on te te souhaite un bon anniversaire avec un peu de retard, il devait etre bon ce kouing -aman , bonne continuation on pense bien à vous, Annick et Gilles
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